L’avenir, c’est l’Afrique.

Aidons chaque pays à le construire.

Le continent africain a d’énormes potentialités en termes de ressources minières, agricoles, démographiques… Mais pour prendre toute sa place dans l’économie mondiale, l’Afrique a besoin d’investissements massifs dans les infrastructures et dans la formation, écrit Jean-Hervé Lorenzi dans « les échos » en novembre 2019.                                                                                               

A l’exemple de la Guinée, l’Afrique francophone aura besoin de nos compétences et de nos expertises pour son développement.

Les pays de l’AOF & AEF (Côte d’Ivoire, Cameroun, Sénégal, Tchad, Bénin, Congo ) sont en demande d’actions d’accompagnement individuel ou collectif.

Une attente qui prend un sens particulier dans le contextuel actuel dinsécurité alimentaire et environnementale.

Une perspective pour beaucoup dentre nous de donner des moyens à ceux qui manquent de moyens et notamment sur ce continent.

Démarche proposée par :

Gérard CHARBONNIER

Pour mémoire sil en était besoin

La population Africaine doublera en 10 ans pour atteindre en 2030, 2,5 milliards d’habitants, et sera le continent attractif du XXIème siècle.

Plus peuplée et plus grande que les Etats Unis d’Amérique, l’Afrique francophone présente la particularitéd’être (àl’instar de l’Amérique du Sud hispanique et du monde arabe) l’une des plus grandes zones linguistiques contiguës au monde, avec plus de 18 pays contigus partageant le français comme langue officielle et/ou véhiculaire sur un espace immense représentant près de la moitiédu continent africain, soit environ 5000 kilomètres du nord au sud et environ 4000 kilomètres d’est en ouest (6320 kilomètres de Tanger au nord du Maroc àLubumbashi au sud de la RDC)

Une démarche pour construire et instruire des missions :

Chacun de nous à ECTI, intéressés par l’Afrique, avec ses relations anciennes (entreprise ou personnel), avec les réseaux sociaux et les demandes déjà existantes, chacun peut nouer des contacts avec des entreprises, des porteurs de projets, des administrations, des associations.

La première étape consiste à écouter, questionner, recenser les difficultés rencontrées par ces contacts dont les besoins nombreux sont souvent désordonnés et réels. Il nous revient à nous membres d’ECTI de les structurer, de les prioriser, et peut être leur proposer notre aide. Cette aide peut se matérialiser par une proposition d’expertise faisant l’objet d’une mission, ou bien aider dans le montage d’un dossier permettant l’accès à des financements (privés ou publics).

Les Ectiens des Pays de la Loire sont sollicités et recherchés pour cette démarche préalable, afin d’inscrire ECTI dans le processus de développement de l’Afrique, et de proposer une solution ECTI.

Cette démarche que j’ai adoptée pour la Guinée donne des résultats encourageants. Elle constitue une base que nous pourrons améliorer pour chacun des pays d’Afrique francophone.

Pratiquement

Temps 1 : M’adresser votre envie de participer à ce projet gerard.charbonnier.ecti@gmail.comen indiquant le ou les pays que vous choisissez et en rappelant vos compétences et expériences liées à votre choix.

Temps 2 : Réunion du groupe ainsi constitué pour mettre au point l’approche générale, définir qui fait quoi pour chaque pays et mettre au point la méthode d’information et de prospection.

Temps 3 : Des rencontres périodiques seront organisées en distantiel pour faire le point des avancées de chacun et encourager les échanges et synergies

« Être utile, se faire plaisir, se réaliser » restent les motivations de notre engagement à ECTI.
Profitons, de cette nouvelle possibilité à lInternational, pour en parler autour de nous, et permettre à des seniors de nous rejoindre dans l’équipe ECTI Pays de la Loire.